Adolescence de Florvil Haveson! - PROFILS

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Haveson FLORVIL

(N.B.- Site en Construction)

Le défenseur des droits de l’enfant,

Demande pour les enfants

Tous les enfants du monde sont déclarés possesseurs de mêmes droits par la convention internationale relative aux droits de l’enfant du 20 novembre 1989. Pourtant, aujourd’hui, près d’un milliard d’enfants dans le monde ne vivent pas vraiment leur enfance à cause de divers problèmes dans le monde notamment la pauvreté, les conflits et le VIH/Sida. Des millions d’enfants meurent chaque année soit directement ou directement de la faim. Or, il est prévu par la dite Convention du 20 novembre, la garantie de l’alimentation, pour les enfants comme l’un des droits fondamentaux des enfants.

Rien que pour citer que cela.

Le jeune intellectuel amant de l’outil de Shakespeare, de Voltaire, de Price-Mars et de Cervantès.

Né dans une famille qui n’avait pratiquement aucun autre amant de la plume sinon que d’essayeurs d’écrivain découragés particulièrement l’exemple de son père et son frère. D’ailleurs, dans son milieu le domaine de l’écriture est guère appuyé, encadré, le jeune haïtien Haveson FLORVIL a, pourtant, embrassé fortement le précieux domaine que lui parait à ses yeux la littérature. Il prend comme sa vie l’outil de Shakespeare, de Voltaire, de Price-Mars et de Cervantes.

Dès l’âge de 15 ans, le jeune Haveson assiste à l’illustre manifestation de son goût, ses talents et ses orientations dans la littérature nouée à la réflexion intellectuelle et scientifique pour ne pas dire également artistique. A ce moment, il devait participer au Cercle de Rayonnement des Intellectuels de Ouanaminthe (Haïti).

A l’âge de 16 ans, la plénitude d’une production littéraire splendide était très expressive. C’est le moment que le jeune enfant vient d’absorber nombre de formations en termes d’informatique, de communication, des droits de l’enfant, de notions en Démocratie, en introduction au journalisme et en leadership jeunesse, d’information sur le VIH/Sida et sa prévention, de l’art (sport, musique…) et particulièrement du théâtre et de la peinture etc.

A cet âge, un important début en littérature et en réflexions intellectuelles se fait affirmer chez le jeune élève. Il dégage alors pleinement dans ses présentations comme conférences, exposés ou animation parmi les intellectuels de Ouanaminthe, au CRI.

A 17 et 18 ans, une très grande et superbe industrie naît et fonctionne dans le pays d’Haïti sans la connaissance de personne donc sans l’encadrement d’aucun de d’elle-même. L’industrie fonctionne dans le pays d’Haïti sans même l’encadrement du gouvernement ni des autres citoyens apparemment fermés ou coincés aussi, au point de vue littéraire.

Aujourd’hui, le jeune écrivain haïtien, Haveson Florvil admire une grande offerte des produits de son industrie : traductions, œuvres sur Haïti, sur l’haïtien, des œuvres théoriques sur la littérature par exemple, des œuvres d’intérêt scientifique, et d’autres œuvres littéraires touchant les thèmes tels : la paix, la non-violence, la jeunesse responsable, le rêve et la planification, l’Avenir, l’enfance, la Jeunesse, les problèmes et les potentialités des jeunes, etc.

Parmi les plus précieuses offertes des produits de cette industrie littéraire, il importe de retenir : deux œuvres exclusivement sur l’enfance, un recueil sur Haïti et les problèmes haïtiens, un recueil de pensées diverses, traductions de livres didactiques pour les élèves haïtiens, des grands projets de dictionnaires et d’encyclopédies haïtiens en créole, en outre, des romans.

Les titres de ces livres créent une liste d’expressions littéraires dont l’une porte se prononce d’étranger et immigré PERDU DANS SON PROPRE PAYS. D’autres en plus, Les Couleurs de l’Avenir et Trésor Précieux, tels sont les titres des deux recueils sur les enfants. Nouveau Soleil, nouveau Jour, ce sont des idées pour une nouvelle ère littéraire en Haïti, comme un exemple d’œuvre théoriques sur la littérature.

Haveson, le jeune intellectuel nouvel amant de l’outil de Shakespeare, de Voltaire, de Price-Mars et de Cervantès, entreprend aujourd’hui de traiter les produits de son industrie littéraire qui fonctionne encore très progressivement mieux. Il demande déjà à tous d’encourager sa production.

Haveson FLORVIL, 02/10/08

Le jeune intellectuel amant de l’outil de Shakespeare,

De Voltaire, de Price-Mars et de Cervantès.

L’auteur de la positivité comme un thème littéraire !

La positivité, dans le sens utilisé par l’auteur, désigne tout un ensemble de comportements, d’actes, de pensées et de sentiments qui peuvent améliorer l’homme en termes de bien.

Le jeune auteur retrouve ce mot dans son répertoire, alors qu’il était à la recherche d’un mot juste pour exprimer une qualité à l’homme et particulièrement à ses connationaux[1] haïtiens qui ont une intégrale nécessite de cette qualité.

Le terme positivité devient tout de suite dans sa littérature un thème littéraire qu’il invite les écrivains haïtiens à partager. Car, continuellement les haïtiens, intellectuels comme simple profanes, parlent d’un besoin de changement de mentalité, un abandon aux négativités de pensée et d’action.

Voici donc, enfin, un mot qui retient tout pour demander le changement de l’homme vers le bien : la positivité !

Déjà, les jeunes commencent à épuiser le thème. Une initiative de collection de recueil de poésie a été prise par les jeunes écrivains en herbe de Ouanaminthe pour un développement collectif du thème de la positivité.

Par ailleurs, plusieurs intellectuels du pays d’Haïti retiennent le thème de la positivité dans leur discours, des étudiants pour soutenir leurs mémoires ou la publication d’autres livres sociaux. Le public comprend. Il réclame déjà la positivité dans la pensée et dans l’action.

En conclusion, il ne reste qu’à prononcer cette phrase de l’auteur : « l’important ce n’est pas surtout le triomphe du thème de la positivité, mais plutôt son application, ses effets positifs en apport pour une société insultée en décomposition et pour l’homme en général qui a grand besoin de se rapprocher du monde du bien, de la positivité ».

Haveson FLORVIL, 02/10/08

[1] Compatriotes.

Le Jeune haïtien qui demande la paix pour l’humanité.

Voici en fait l’un des thèmes chers au jeune écrivain : la paix, la paix partout et pour toujours. La paix qu’il rêve c’est pour l’humanité. «Paix aux hommes, Paix à la terre, Paix dans le monde et Paix pour chaque humain », tel est un refrain de sa plume désespérée. Vous verrez dans plusieurs de ses articles destinés à la publication combien cher est estimé ce mot dans son dictionnaire.

En terme plus concis, il vous présente le message essentiel de cet aspect de ses idées et de sa production :

« Vive la paix dans le Monde, la Paix entre les hommes, la paix pour chaque homme. Créons un monde de paix, hommes et femmes nous le pouvons si nous le voulons ! »

Vous avez ici un exemple de texte qu’il écrit à ce point de vue :

ARTICLE : Un homme, un pays, un monde pour la paix de l’humanité !

Extrait :

Le monde a de nombreux besoins essentiels que l’homme malgré tous ses appréciables efforts n’arrive pas à satisfaire. Parmi ces besoins, il est plus que soulignable de relever : la Paix. La paix que nous cherchons partout et ailleurs par toutes les portes à pourtant, elle se crée par le pouvoir de l’homme lui-même. Dieu l’accorde également gratuitement à l’homme. L’homme doit être amélioré, le pays doit un important changement positif, tout comme aussi le monde a besoin de bien de changements et de planifications pour que son avenir soit meilleur et non pire. Les hommes sont de plus en plus illustres dans l’univers. Ce qui confère à notre monde le rôle de préserver la paix de l’univers. Les problèmes de la terre semblent vraiment affecter l’univers tout entier. Il faut à l’humanité : l’action et une action progressiste tenant compte d’une sorte de bien-être général.

Si nous souhaitons que l’homme soit amélioré en se tendant vers ce que nous appelons La Positivité, c’est que nous souhaitons avoir un homme et un pays bon et bien apte à contribuer au bien-être de l’humanité. Le changement de l’homme nécessite une importante mobilisation de conscience, un courage extra ou ordinaire. Le changement positif d’un homme fait également appel à la confraternisation, la coopération avec ses concitoyens et conplanétaires sans oublier la volonté de prioriser les intérêts supérieurs de l’humanité et de sa propre nation. Changer le monde pour y instaurer la paix c’est encore un match d’une seule équipe sur le terrain sans adversaires mais l’équipe doit s’entendre. L’Arbitre divin laisse sans partialité ce ballon entre l’équipe no-concertée. Allons donc ! Connaissons un peu cet homme qui par de ce pays à l’image de ce monde pensant, rêvant pour la paix dans l’univers…

…Cet homme doit rechercher la positivité, la connaissance, les bonnes idées et leurs applications particulièrement par le culte du travail, la crainte de Dieu. C’est un homme qui doit prendre le bon travail et le bon comportement face à l’humanité comme un bâton sacré que tout autre homme devrait utiliser dans leur mission commune sur cette planète. Cet humain doit rechercher le chemin de la fraternité, de l’entraide, du respect de soi et des autres. Il faut des efforts incessants, des efforts continus pour contribuer au progrès du monde entier sans omettre les drôles hommes de son entourage immédiat comme le plus lointain qui ne comprennent pas encore la nécessité si urgente de prioriser dans tout la préservation de l’avenir meilleur que cette planète serait condamnée à connaitre moyennant un bon travail sera fait aujourd’hui et plus tard. Il faut un humain optant pour la paix dans son pays et dans le monde, la paix de l’univers ! C’est un effort colossal mais simple, c’et une mission (nous l’avons dit) de tous les humains vivants du monde actuel, conscient de l’objet du besoin du monde pour la paix, ce qui doit normalement consister en un devoir de tout humain vivant…

… un pays ou règne plus d’harmonie entre les citoyens, entre les nationaux. Ce doit être un pays ou il existe une sorte de cohésion sociale importante, de la non-marginalisation, de la non-exclusion et pas trop de partisanneries et de divisions internes, sociales, religieuses et politiques, divisions pouvant aller jusqu’à aboutir au regressisme, au négativisme, l’obscurantisme inconscient et à la méchanceté. Ce pays qui doit contribuer à la paix dans le monde doit avoir son peuple bien éduqué, une société sage et apte à promouvoir la non-violence et la paix pour la terre toute entière. La pauvreté ne devait plus impérialement trôner ce pays qui devait aussi refuser ou tourner le dos à la corruption. Le culte du travail et du progrès devait être encore le bâton outil de son peuple. Avec un esprit non belliqueux donc recherchant la paix et la coopération sage avec les autres nations. Telle est la mission de tout pays ayant des têtes pensantes conscientes de la nécessité pour le monde d’avoir un peu de paix.

…un monde sciemment agité d’une véritable coopération internationale. C’est un monde harmonisé par l’entraide et le respect réciproque véritable. Que soient les peuples en humains de bonne conscience pour la paix de l’humanité elle-même. Le monde de paix dont nous parlons est un monde ou les hommes cohabitent, sincèrement, loin du racisme et de la discrimination. C’est un monde ou les droits de tous les humains sont réellement respectés. Un monde de paix ! Un monde ou l’exploitation est déjà dénoncée inhumaine et progressivement exclue dans les relations entre les hommes et les relations entre les peuples. Un monde dont la charge cruciale de certain égocentrismes et impérialismes dangereux au détriment des autres peuples soit bien allégé, jusque vers zéro. Mais aussi un monde d’un peu de discipline humaine au niveau international sans pour autant laisser le virus des privations et abus sur les droits des individus, des peuples. Ce monde doit honorer et prioriser la valeur humaine, le facteur humain. C’est un monde véritablement de paix, sans terrorisme, sans violences de toutes sortes causant stress et angoisse au niveau des sociétés. C’est effectivement un meilleur monde rempli d’harmonie, de cohabitation, de coopération et de solidarité entre les hommes et les peuples. C’est justement un monde approprié à loger des humains. Un monde de paix et de tranquillité !

C’est la mission à laquelle devait s’engager tout humain, tout pays conscient de l’évidente nécessité de la paix pour l’humanité.

Haveson FLORVIL, 02/10/08

Le jeune intellectuel haïtien qui demande

La paix pour l’humanité.